Je m'attarde - Mot-clé - Angleterre - Commentaires le temps d'un souffle<br />2024-03-29T08:45:23+01:00Gilles P.urn:md5:53884a1dc0a56fcabb5795c6d1504dfbDotclearLe Mur du son (The Sound Barrier), de David Lean (1952) - Renaudurn:md5:18a8f7cf0d392d37dabdf0eab384cac32024-02-11T21:06:26+01:002024-02-11T21:06:26+01:00Renaud<p>Petite précision, au cas où pour que tu ne construises pas des attentes démentielles qui seraient vouées à être déçues, ce n'est pas un chef-d'œuvre haha. Mais l'approche est en effet intéressante, du moins j'ai trouvé. Quelle coïncidence en tous cas ! :D</p>
<blockquote><p>The Sound Barrier est un film qui détonne.<br />
Il ne saurait en être autrement !</p></blockquote>
<p>Totalement involontaire bien entendu...</p>
<blockquote><p>(Je compte parmi les exceptions ceux interprétés par Barbara Hershey et Claire Foy, respectivement dans L'étoffe des héros et First Man.)</p></blockquote>
<p>Je me souviens surtout de la seconde, et je garde comme toi le souvenir d'un sujet important. Par contre du côté du film de <strong>Philip Kaufman</strong>, j'ai fait un reset total...</p>Le Mur du son (The Sound Barrier), de David Lean (1952) - Nicolasurn:md5:9e8f931fa3afb1a37600f2c5209ecf692024-02-11T19:46:24+01:002024-02-11T19:46:24+01:00Nicolas<p>(Oh ! J'ai failli repartir avec le dvd de ce film à mon dernier passage en médiathèque... : à concrétiser une prochaine fois.)</p>
<blockquote><p>The Sound Barrier est un film qui détonne.</p></blockquote>
<p>Il ne saurait en être autrement !</p>
<blockquote><p>(...) le cinéaste britannique investit cette thématique aéronautique (...) plutôt à l'aune de l'impact de ces essais sur un personnage féminin.</p></blockquote>
<p>Une optique qui me semble intéressante.</p>
<p>C'est que quand ils sont relégués aux seconds dans ces histoires de héros des airs ou de l'espace, les personnages féminins ne sont souvent guère plus que fonctionnels.<br />
(Je compte parmi les exceptions ceux interprétés par <strong>Barbara Hershey</strong> et <strong>Claire Foy</strong>, respectivement dans <ins>L'étoffe des héros</ins> et <ins>First Man</ins>.)</p>L'étrangleur de Rillington Place (10 Rillington Place), de Richard Fleischer (1971) - Jimurn:md5:f871630eb3276c1e9c164f5bbe3ada332023-10-31T09:40:59+01:002023-10-31T09:40:59+01:00Jim<p>Revu Orson hier soir lors la rediffusion du Mody Dick de John Huston.<br />
Dans son unique scène (un sermon se basant sur la parabole de Jonas), il en impose.</p>L'étrangleur de Rillington Place (10 Rillington Place), de Richard Fleischer (1971) - Renaudurn:md5:0e5b94bc22d0101b87a4c2049ca1dd082023-10-30T16:11:41+01:002023-10-30T16:11:57+01:00Renaud<p>Haha, sacré <strong>Orson</strong>... Il m'a marqué récemment dans quelques films pour des apparitions très brèves, notamment <ins><a href="https://www.je-mattarde.com/index.php?post/Catch-22-de-Mike-Nichols-1970" rel="ugc nofollow">Catch-22</a></ins> (dont on avait déjà parlé !) et <ins>Jane Eyre</ins> (son arrivée à cheval devant <strong>Joan Fontaine</strong>, brrrr).</p>
<p>Bon pour <ins>Kalidor</ins>, si tu essaies à nouveau tu me diras, mais j'ai retenté récemment, et c'est un vrai plaisir coupable en ce qui me concerne — très très mauvais, mais impossible de le détester personnellement hahaha.</p>L'étrangleur de Rillington Place (10 Rillington Place), de Richard Fleischer (1971) - Jimurn:md5:4101eb19bfbb87d0592cd06f44de11bf2023-10-30T11:41:01+01:002023-10-30T11:41:01+01:00Jim<p>Merci !</p>
<p>Tu as raison pour le titre VF de <ins>Compulsion</ins>, c'est bien <ins>Le génie du mal</ins>. Ma mémoire m'a fait défaut. J'ai corrigé.</p>
<p>Le film se base sur l'affaire Leopold-Loeb, la même qui servit à Alfred Hitchcock pour <ins>La corde</ins>.</p>
<p>Orson Welles n'apparaît qu'à la fin du film mais crève l'écran.<br />
Pourtant, à lire les mémoires de Fleischer ("Just tell me when to cry", bêtement traduit en France par "Survivre à Hollywood"), il doutait de ses capacités. En effet, n'ayant pas tourné depuis un certain temps, il craignait de ne pouvoir assurer un aussi long monologue. Il en vint à faire des demandes insolites : que ses partenaires hors-champ ferment les yeux, qu'on le laisse répéter une fois seul sur le plateau. Cette dernière lui fut accordée.<br />
Résultat : la première prise fut la bonne !</p>
<p>Kalidor, je l'avais vu ado et n'y avais pas vu le navet annoncé ici ou là. Je me suis toujours dit que je le reverrai un jour, pour Fleischer (et une chronique ici ? <sup></sup>)</p>L'étrangleur de Rillington Place (10 Rillington Place), de Richard Fleischer (1971) - Renaudurn:md5:a243c844e39e9ab95562fb4d02fd1af02023-10-29T23:16:09+01:002023-10-29T23:18:32+01:00Renaud<p>C'est ce qu'on appelle une belle entrée en matière ! En plus du film sujet du billet, tu fais remonter deux autres productions de <strong>Fleischer </strong>dans la liste des lacunes à corriger rapidement chez moi, n'ayant toujours pas vu <ins>Le Génie du mal</ins> (ce que tu nommes "Le génie criminel", je suppose qu'il existe plusieurs traductions — <strong>Orson Welles</strong> en avocat auteur de la plaidoirie finale, j'achète direct) et <ins>L'Énigme du Chicago Express</ins>.</p>
<p>Je confonds depuis longtemps ce titre avec <ins>The Boston Strangler</ins> (j'avais bien aimé <strong>Tony Curtis</strong> dans un rôle qui tranche avec son image ainsi que les ambitions esthétiques), ce sera l'occasion de mettre fin à cette confusion... Sinon j'approuve à 200% le caractère inclassable de la filmo de <strong>Fleischer</strong>, dans mon trio de tête il y a <ins>The New Centurions</ins>, <ins>Mandingo</ins> et <ins>Soleil Vert</ins>, quelle hétérogénéité ! Bon et j'ai été bercé par <ins>Kalidor</ins> pendant toute mon enfance aussi (avec <ins>Jurassic Park</ins> et papi <strong>Attenborough</strong> en effet), qu'on me pardonne. Hâte de voir ça donc !</p>
<p>L'anecdote du bourreau avec la cagoule qui gratte m'a fait rire...</p>Racket - Du sang sur la Tamise (The Long Good Friday), de John Mackenzie (1980) - Renaudurn:md5:06989cc28526dc25bddfe85b5dc220882023-09-20T12:03:59+02:002023-09-20T11:03:59+02:00Renaud<p>Honnêtement je peux comprendre, sans être fatigué quand je l'ai vu l'introduction est vraiment pas un sommet d'intelligibilité, j'étais paumé pendant un bon moment et il faut être patient (c'est beaucoup demander de la part de Mackenzie quand même). Ce qui est "drôle", c'est que cette séquence n'est pas complètement compréhensible au moment où on la voit, alors qu'elle est presque essentielle une fois que tout est déroulé. J'aime beaucoup revoir des films en général, mais je ne suis pas très fan de ces films qui doivent presque obligatoirement être regardés deux fois pour tout saisir, donc il y a peut-être un petit problème au niveau du scénario ou du montage... Mais si tu arrives à t'y remettre, je pense que le film saura te récompenser. Enfin j'espère que ce sera le cas pour toi aussi. :)</p>
<p>Très intéressant pour Helen Mirren, car son rôle tel qu'elle l'a approfondi, sans être un personnage principal, est vraiment très chouette.</p>