Je m'attarde - Mot-clé - Chirurgie - Commentaires le temps d'un souffle<br />2024-03-25T15:05:00+01:00Gilles P.urn:md5:53884a1dc0a56fcabb5795c6d1504dfbDotclearL'Abominable Docteur Phibes (The Abominable Dr. Phibes), de Robert Fuest (1971) - Renaudurn:md5:3c87b8e2b526811b6c493ee786f976822023-11-24T11:40:28+01:002023-11-24T11:40:28+01:00Renaud<p>Rien d'impérissable en effet, si ce n'est justement ce questionnement (volontaire ou involontaire ?), mais ça ne fait pas un bon film haha. Je l'associe à toutes ces séries B dans lesquelles a pu figurer <strong>Vincent Price</strong>, notamment chez <strong>Roger Corman</strong> avec de nombreuses adaptations de <strong>Poe</strong>, <ins>Le Masque de la mort rouge</ins>, <ins>La Chambre des tortures</ins>, <ins>La Tombe de Ligeia</ins>, etc.</p>L'Abominable Docteur Phibes (The Abominable Dr. Phibes), de Robert Fuest (1971) - Nicolasurn:md5:a000a5d7aaa63345752745febf7320f62023-11-24T11:05:27+01:002023-11-24T11:05:27+01:00Nicolas<p>Un film qui ne m'a pas laissé un souvenir impérissable.</p>
<blockquote><p>Et c'est bien la mise en scène de ces meurtres qui fait tout le sel du film, (...), on enchaîne les délires macabres avant tout pour le plaisir de voir quelle idiotie va nous être montrée pour tuer le prochain sur la liste. C'est là où j'ai un doute quant à l'ambiance du film, vu d'aujourd'hui : est-ce que ce sentiment d'excès idiot était présent il y a 50 ans, et était-il recherché par la production ?</p></blockquote>
<p>Tout à fait d'accord. Comique involontaire ou loufoquerie assumée ? Telle est la question.<br />
Si l'on d'humeur (je l'étais), on pourra trouver ça rigolo, mais c'est bien tout.</p>De humani corporis fabrica, de Lucien Castaing-Taylor et Véréna Paravel (2023) - Renaudurn:md5:73db2ebb22bbfe69e8ec69d712d30a652023-06-22T16:20:40+02:002023-06-22T15:20:40+02:00Renaud<p>Ce film est pour moi vraiment démentiel, et si la nature des images ne te pose pas de problème particulier, n'hésite pas une seconde ! Et je ne pense pas me tromper en disant qu'il n'y a pas beaucoup ou pas du tout de cet "humour de salle d'opération", tu peux t'y lancer tranquille. On entend des bruits et des discussions pendant les opérations, mais cela fait vraiment sens, et on peut choisir de ne pas les entendre en plus car le son est très faible dans ces passages-là.<br />
L'impact du contenu est je pense immense, quelle que soit la taille de l'écran... Les réalisateurs ont réussi à dégager une homogénéité esthétique tout du long qui est fascinante, ça n'arrête pas pendant 2 heures, en dedans et en dehors. Et en termes de chirurgies, tu l'auras compris : il y en a pour tous les goûts ! ;-)<br />
Mon plus grand coup de cœur des 20 derniers mois. Si tu tentes un visionnage, je serai très intéressé par un retour de ta part.</p>De humani corporis fabrica, de Lucien Castaing-Taylor et Véréna Paravel (2023) - Jimurn:md5:2b474eb08298f0547eb0b5f4da4357582023-06-22T15:18:23+02:002023-06-22T14:18:23+02:00Jim<blockquote><p>Si les séquences en dehors des blocs opératoires sont d'un intérêt plus négligeable, le pouvoir des images de l'intérieur des corps est immense, sidérant même — entre dégoût et fascination, difficile de se positionner tant certaines confinent à une abstraction organique triturée par la mécanique du matériel médical.</p></blockquote>
<p>Pour l'extraordinaire des images, je rattraperai ce film à un moment donné, sur petit écran.</p>
<p>Le voir sur grand écran aurait certainement amplifier l'impact mais tant pis, j'y ai renoncé, car je craignais que le documentaire comporte trop d'humour de salle d'opération.<br />
Je comprends l'existence de cette sorte d'humour, utile à se libérer d'une pression importante, mais comme témoin extérieur, je la supporte assez mal...</p>
<p>(Sans présumer outre mesure des réactions de mon estomac, je pense que je serai plus fasciné que dégouté. Les visions présentées s'annoncent inédites mais j'espère que le souvenirs de ces moments de week-end en famille à regarder les images d'opérations à cœur et corps ouverts diffusés par "Le magazine de la santé", à l'heure du café, m'y auront préparé a minima !)<br />
(ou alors je m'y préparerai en me plongeant dans les encyclopédies médicales illustrées de mon infirmière de mère, à l'entrée "Maladies nécrosantes des organes génitaux" ! ;-)</p>