Je m'attarde - Mot-clé - Comédie - Commentaires le temps d'un souffle<br />2024-03-25T15:05:00+01:00Gilles P.urn:md5:53884a1dc0a56fcabb5795c6d1504dfbDotclearTriple Assassinat dans le Suffolk, de Peter Greenaway (1988) - Renaudurn:md5:27bf636d333ebb6c9ca7871737074be92024-01-19T18:41:50+01:002024-01-19T18:41:50+01:00Renaud<p>Ah, merci beaucoup pour cette recommandation ! C'est bien noté. J'en avais entendu parler il y a bien longtemps, on me l'avais conseillé pour son côté surréaliste. Il remonte dans la file d'attente. :)</p>Triple Assassinat dans le Suffolk, de Peter Greenaway (1988) - maraturn:md5:b3cb5b75527120f2258a729f8967f2d62024-01-19T17:23:34+01:002024-01-19T17:23:34+01:00marat<p>Suite à la découverte récente des "habitants" de Alex Van Warmerdam qui m'a semblé avoir quelques points communs avec ce "triple assassinat" (beauté formelle, sens du cadre, sensualité débordante mais empêchée, noirceur du propos...), à mon tour de vous conseiller son visionnage.</p>Triple Assassinat dans le Suffolk, de Peter Greenaway (1988) - Renaudurn:md5:dd883c15e8d64aee84b11887bd8b99cf2023-12-07T17:39:22+01:002023-12-07T17:39:22+01:00Renaud<p>Salut,<br />
Très heureux d'avoir pu vous aider à découvrir ce film et merci beaucoup pour votre retour !<br />
Je rejoins tous les points que vous évoquez, esthétique ambitieuse et originale (qu'on retrouve dans d'autres de ses films, si jamais), humour amoral, etc. Et même sentiment au sujet d'une crainte de "trop" au début qui se dissipe assez vite.<br />
J'approuve tout à fait la formule "Wes Anderson plus habité et plus sombre" hahaha.</p>Triple Assassinat dans le Suffolk, de Peter Greenaway (1988) - maraturn:md5:9b5a5f82e0253de4bcd1df3188bf9cf92023-12-07T13:33:44+01:002023-12-07T13:33:44+01:00marat<p>Je viens de le voir, après être tombé un peu par hasard sur votre blog, eh bien merci du conseil.</p>
<p>Très surprenant, une identité formelle indéniable (qui peut faire craindre un trop plein au début, mais pour mieux surprendre au fur et à mesure), une sensualité qui déborde de partout, beaucoup d'humour, des plans incroyables, tout ça au service d'une amoralité bien comme il faut. Superbe.</p>
<p>Du Wes Anderson plus habité et plus sombre, en gros.</p>Vacances sur ordonnance, de Henry Cass (1950) - Renaud M.urn:md5:a07b2e997ab5967d23bd42b4f8ae60612021-05-20T11:56:01+02:002021-05-20T10:56:01+02:00Renaud M.<p>Je les trouve chez mon crémier, je pourrai te donner son adresse si tu veux. En tous cas, si tu es friand de comédie noire avec sauce humour british, tu peux y aller !</p>Vacances sur ordonnance, de Henry Cass (1950) - Gillesurn:md5:de02966af313e2f6cb9e0a023f93b0222021-05-19T13:51:24+02:002021-05-19T12:52:15+02:00Gilles<p>Un film encore méconnu dont le sujet pour ne pas dire le personnage principal attise la curiosité, où vas-tu chercher ces films oubliés ? Je suis assez friands de ce genre de comédie noire, j'essaierai de le voir.</p>Nos femmes, de Richard Berry (2015) - AmaNoSodeurn:md5:b283a61d5dd5b6ee593d03c6bbf49b7a2015-11-23T12:12:13+01:002015-11-23T13:05:12+01:00AmaNoSode<p>Ah ça oui ! Evacuons, déclamons, crions, fustigeons et j'en passe mais que cela fait du bien, en effet ! Tu aurais bien tort de te gêner dans ce cas.<br />
J'apprécie toujours autant tes résumés et commentaires et je les suis de près, même si je ne commente que rarement :)</p>