Je m'attarde - Mot-clé - Enfance - Commentaires le temps d'un souffle<br />2024-03-29T08:45:23+01:00Gilles P.urn:md5:53884a1dc0a56fcabb5795c6d1504dfbDotclearCybèle ou les Dimanches de Ville-d'Avray, de Serge Bourguignon (1962) - Christopheurn:md5:e68cf8425fdaffe3b98425061da2c4312024-02-08T00:13:01+01:002024-02-08T00:13:01+01:00Christophe<p>très bon texte, merci</p>Le Pont, de Bernhard Wicki (1959) - Renaudurn:md5:1c869139cb4f5b588be92f436f9f5a6b2023-06-02T13:04:53+02:002023-06-02T12:04:53+02:00Renaud<p>J'avoue que la sélection des images est une partie que j'apprécie pas mal dans la composition de ces bafouilles. ;-) Elles font remonter autant (parfois davantage) de souvenirs que les mots, quand je m'y replonge des années plus tard. L'effet "capsule temporelle" de certains films est quelque chose que j'aime beaucoup aussi.</p>
<p>Merci pour ce retour, et si parfois certains films te tentent je peux me faire facilitateur !</p>Le Pont, de Bernhard Wicki (1959) - Gillesurn:md5:616a7e8ab83790877aa6406e605dff052023-06-02T10:51:37+02:002023-06-02T09:51:37+02:00Gilles<p>Belles photographies du film, les images d'époque sont toujours plaisantes à voir, à défaut de voir le film. Les voyages dans le temps que proposent ta sélection de films fascinent, Les Rendez-vous du diable, Les Vampires, Limite pour ne citer que les derniers...</p>Cœur cousu, de Carole Martinez (2007) - Renaud M.urn:md5:8af03e58911b819ca9aa8427c9b7fb252019-11-20T23:15:59+01:002019-11-20T23:15:59+01:00Renaud M.<p>Incroyable ! Ravi de te lire depuis... tout ce temps. :)</p>Boyhood, de Richard Linklater (2014) - Renaudurn:md5:e407f900643d26056b8be999003b23322014-08-19T10:54:42+02:002014-08-19T09:54:42+02:00Renaud<p>Je vois, à la lecture de <a href="http://yosha.over-blog.com/article-boyhood-124380220.html" rel="ugc nofollow">ta critique</a>, qu'on est effectivement sur la même longueur d'onde... Si je n'ai pas trouvé le temps long (étonnamment), les discours de Mason-adolescent et les figures successives du beau-père m'ont vraiment fatigué. Reste cette observation assez fascinante des personnages, grandissant pour les uns, vieillissant pour les autres.</p>Boyhood, de Richard Linklater (2014) - Yoshaurn:md5:7ae46cc12e3165beffe9c226166a5eca2014-08-19T09:04:53+02:002014-08-19T08:04:53+02:00Yosha<p>Je partage complètement ton ressenti... un beau gâchis, c'est dommage...</p>Mud, de Jeff Nichols (2013) - Renaud M.urn:md5:f3b81242a870b10d3a330bcb0e3812722013-06-01T21:16:08+02:002014-03-18T13:21:45+01:00Renaud M.<p>Merci Karine pour cette riche contribution, je suis content que tu aies atterri ici par l'entremise de ton frère... C'est vrai que mon regard s'est majoritairement porté sur l'aspect "filiation" plutôt que sur la figure éminemment symbolique de la Nature qui semble passionner <strong>Nichols</strong>. Ces scènes autour de l'estuaire du Mississippi ont une dimension onirique évidente, et c'est très appréciable.</p>
<p>En tous cas, je rejoins ton analyse du "conte de fée revisité" agrémenté de contre-clichés qui place le jeune héros au centre du récit, lui qui est en pleine construction. Certains ont reproché au film cette abondance de personnages masculins, au détriment de la gente féminine ; j'y ai plutôt vu une multiplicité d'orientations et d'identifications possibles pour Ellis, autant de choix de vie qui passent l'épreuve de sa grille d'analyse — lui qui exige un positionnement clair de la part de tous les personnages en effet.</p>