Je m'attarde - Mot-clé - Erich von Stroheim - Commentaires le temps d'un souffle<br />2024-03-29T14:52:11+01:00Gilles P.urn:md5:53884a1dc0a56fcabb5795c6d1504dfbDotclearLes Poupées du diable (The Devil-Doll), de Tod Browning (1936) - Renaudurn:md5:a69fda709adc44dc9368f20d473efe882023-12-03T20:17:03+01:002023-12-03T20:17:03+01:00Renaud<p>Et merci à toi pour ce retour avec les nombreux points intéressants ! :)<br />
Je dois avouer que la passerelle Browning / Cronenberg paraît un peu osée, mais elle m'a vraiment sauté à l'esprit en visionnant ce film de Browning haha. Comme toi je n'ai jamais entendu Cronenberg y faire référence, si tu trouvais des infos à ce sujet (ou un sujet connexe), je suis preneur.</p>
<p>Et je note aussi la référence au bouquin de Serge Grunberg que je ne connaissais pas.</p>Les Poupées du diable (The Devil-Doll), de Tod Browning (1936) - Nicolasurn:md5:6cd40e4d80e15cee6dd0f2f581478e822023-12-01T16:21:25+01:002023-12-01T16:21:25+01:00Nicolas<p>Merci pour cette belle chronique, <strong>Renaud</strong>.</p>
<blockquote><p>Erich von Stroheim qui a participé à l’écriture du scénario. Excusez du peu.</p></blockquote>
<p>Je découvre un autre nom associé au scénario, celui de <strong>Guy Endore</strong>.<br />
Je l'ignorai scénariste ; je connaissais seulement son nom pour son roman <ins>Le loup-garou de Paris</ins>, réputé comme le premier classique du genre<br />
(et qui est sans rapport avec l'affreux film de 1997).</p>
<blockquote><p>Tout ces points pourraient concourir à l'élaboration d'un pot-pourri informe et indigeste, mais à l'opposé, participent à la confection d'une toile narrative dense, envoûtante, grotesque juste comme il faut, et d'une très convaincante efficacité.</p></blockquote>
<p>C'est remarquable, en effet.</p>
<blockquote><p>La qualité des effets spéciaux permet de rendre le fiction encore prenante vue de 2023, avec pour créer l'effet de changement d'échelle d'un côté des surimpressions évidentes qui bavent un peu et de l'autre côté des décors gigantesques construits pour l'occasion. Le résultat est d'une fluidité que je trouve franchement bluffante, et ce d'autant plus que cela s'inscrit dans des passages typés thriller conférant aux êtres miniaturisés un pouvoir de mort.</p></blockquote>
<p>Comme dans <ins>L'homme qui rétrécit</ins>, je marche toujours autant à ces trucages optiques jouant sur le décalage d'échelle : simples, efficaces, poétiques.</p>
<blockquote><p>Tod Browning apparaît à mon sens comme un précurseur très lointain de David Cronenberg avec qui il partage une lubie très particulière, la transformation des corps et leur caractère très photogénique.</p></blockquote>
<p>Je ne m'attendais pas à voir le nom de <strong>David Cronenberg</strong> associé à la chronique de ce film, même si la remarque où tu l'inclus est tout à fait sensée.</p>
<p>Du coup, je me demande ce que le canadien (qui fut un des réalisateurs-phares de mon adolescence) pouvait bien penser du cinéma de <strong>Tod Browning</strong>.<br />
Je n'ai pas souvenir qu'il l'évoque dans ses entretiens avec Serge Grünberg. À voir en creusant les méandres du Net...</p>La Grande Illusion, de Jean Renoir (1937) - Renaud M.urn:md5:43d0cf256a39646ed5c1c367070f860b2013-04-28T20:18:29+02:002014-03-18T13:12:08+01:00Renaud M.<p>Oups, mais bien sûr... mea culpa, je n'avais pas saisi.<br />
Je ne suis pas rentré dans les détails et je précise que je ne fais pas partie des gens qui font l'amalgame entre l'auteur et son œuvre. Son <ins>Voyage au bout de la nuit</ins> est d'ailleurs l'un des fondements de ma culture littéraire, c'est lui qui en a allumé la flamme.</p>La Grande Illusion, de Jean Renoir (1937) - chouchou58urn:md5:7ac3133515658a2a7d818c22c195169b2013-04-28T19:35:16+02:002013-04-28T18:35:16+02:00chouchou58<p>Je parlais de CELINE dont j'ai lu énormément d'oeuvres ainsi que de multiples biographies.</p>La Grande Illusion, de Jean Renoir (1937) - Renaud M.urn:md5:50d20a972f31a866047d1060b359fde32013-04-28T16:44:56+02:002014-03-18T13:12:12+01:00Renaud M.<p>Merci chouchou58 pour ton retour. Un incontournable pour moi aussi...<br />
L'écrivain auquel tu fais référence, serait-ce <strong>Jean des Vallières</strong> et son roman <ins>Le Cavalier Scharnorst</ins> (qui a inspiré <strong>Renoir</strong> semble-t-il) ? Je ne connaissais absolument pas.</p>La Grande Illusion, de Jean Renoir (1937) - chouchou58urn:md5:42db642f61de25ecff709c2059563aab2013-04-28T13:29:24+02:002013-04-28T13:25:07+02:00chouchou58<p>L'un de mes films essentiels avec des acteurs incontournables dans ma DVDthèque mais aussi la référence à l'un de mes écrivains qui ne me laisse en aucune manière de marbre. Belle feuille!</p>