Je m'attarde - Mot-clé - John Hurt - Commentaires le temps d'un souffle<br />2024-03-18T09:08:17+01:00Gilles P.urn:md5:53884a1dc0a56fcabb5795c6d1504dfbDotclearL'étrangleur de Rillington Place (10 Rillington Place), de Richard Fleischer (1971) - Jimurn:md5:f871630eb3276c1e9c164f5bbe3ada332023-10-31T09:40:59+01:002023-10-31T09:40:59+01:00Jim<p>Revu Orson hier soir lors la rediffusion du Mody Dick de John Huston.<br />
Dans son unique scène (un sermon se basant sur la parabole de Jonas), il en impose.</p>L'étrangleur de Rillington Place (10 Rillington Place), de Richard Fleischer (1971) - Renaudurn:md5:0e5b94bc22d0101b87a4c2049ca1dd082023-10-30T16:11:41+01:002023-10-30T16:11:57+01:00Renaud<p>Haha, sacré <strong>Orson</strong>... Il m'a marqué récemment dans quelques films pour des apparitions très brèves, notamment <ins><a href="https://www.je-mattarde.com/index.php?post/Catch-22-de-Mike-Nichols-1970" rel="ugc nofollow">Catch-22</a></ins> (dont on avait déjà parlé !) et <ins>Jane Eyre</ins> (son arrivée à cheval devant <strong>Joan Fontaine</strong>, brrrr).</p>
<p>Bon pour <ins>Kalidor</ins>, si tu essaies à nouveau tu me diras, mais j'ai retenté récemment, et c'est un vrai plaisir coupable en ce qui me concerne — très très mauvais, mais impossible de le détester personnellement hahaha.</p>L'étrangleur de Rillington Place (10 Rillington Place), de Richard Fleischer (1971) - Jimurn:md5:4101eb19bfbb87d0592cd06f44de11bf2023-10-30T11:41:01+01:002023-10-30T11:41:01+01:00Jim<p>Merci !</p>
<p>Tu as raison pour le titre VF de <ins>Compulsion</ins>, c'est bien <ins>Le génie du mal</ins>. Ma mémoire m'a fait défaut. J'ai corrigé.</p>
<p>Le film se base sur l'affaire Leopold-Loeb, la même qui servit à Alfred Hitchcock pour <ins>La corde</ins>.</p>
<p>Orson Welles n'apparaît qu'à la fin du film mais crève l'écran.<br />
Pourtant, à lire les mémoires de Fleischer ("Just tell me when to cry", bêtement traduit en France par "Survivre à Hollywood"), il doutait de ses capacités. En effet, n'ayant pas tourné depuis un certain temps, il craignait de ne pouvoir assurer un aussi long monologue. Il en vint à faire des demandes insolites : que ses partenaires hors-champ ferment les yeux, qu'on le laisse répéter une fois seul sur le plateau. Cette dernière lui fut accordée.<br />
Résultat : la première prise fut la bonne !</p>
<p>Kalidor, je l'avais vu ado et n'y avais pas vu le navet annoncé ici ou là. Je me suis toujours dit que je le reverrai un jour, pour Fleischer (et une chronique ici ? <sup></sup>)</p>L'étrangleur de Rillington Place (10 Rillington Place), de Richard Fleischer (1971) - Renaudurn:md5:a243c844e39e9ab95562fb4d02fd1af02023-10-29T23:16:09+01:002023-10-29T23:18:32+01:00Renaud<p>C'est ce qu'on appelle une belle entrée en matière ! En plus du film sujet du billet, tu fais remonter deux autres productions de <strong>Fleischer </strong>dans la liste des lacunes à corriger rapidement chez moi, n'ayant toujours pas vu <ins>Le Génie du mal</ins> (ce que tu nommes "Le génie criminel", je suppose qu'il existe plusieurs traductions — <strong>Orson Welles</strong> en avocat auteur de la plaidoirie finale, j'achète direct) et <ins>L'Énigme du Chicago Express</ins>.</p>
<p>Je confonds depuis longtemps ce titre avec <ins>The Boston Strangler</ins> (j'avais bien aimé <strong>Tony Curtis</strong> dans un rôle qui tranche avec son image ainsi que les ambitions esthétiques), ce sera l'occasion de mettre fin à cette confusion... Sinon j'approuve à 200% le caractère inclassable de la filmo de <strong>Fleischer</strong>, dans mon trio de tête il y a <ins>The New Centurions</ins>, <ins>Mandingo</ins> et <ins>Soleil Vert</ins>, quelle hétérogénéité ! Bon et j'ai été bercé par <ins>Kalidor</ins> pendant toute mon enfance aussi (avec <ins>Jurassic Park</ins> et papi <strong>Attenborough</strong> en effet), qu'on me pardonne. Hâte de voir ça donc !</p>
<p>L'anecdote du bourreau avec la cagoule qui gratte m'a fait rire...</p>