Je m'attarde - Mot-clé - Roman noir - Commentaires le temps d'un souffle<br />2024-03-25T15:05:00+01:00Gilles P.urn:md5:53884a1dc0a56fcabb5795c6d1504dfbDotclearPottsville, 1280 habitants, de Jim Thompson (2016) - Rossiurn:md5:b38c329930cf6e0cae542cb89cd7706e2023-11-10T15:22:39+01:002023-11-10T15:22:39+01:00Rossi<p>Je le lirai un jour, je le lirai ! <sup></sup></p>
<p>1280 habitants, 1275 âmes.<br />
On peut aussi en déduire que cinq individus de cette charmante localité sont dépourvus d'âmes... Les auraient-ils vendues au Diable ?</p>Pottsville, 1280 habitants, de Jim Thompson (2016) - Gillesurn:md5:c01e4c41a4f4cecacd9ea4bbb926087c2023-11-07T21:36:00+01:002023-11-07T21:36:00+01:00Gilles<p><q><strong>Renaud :</strong> Et cette différence de 5 habitants... À ranger au rayons des meilleures inepties de traduction hahaha.</q></p>
<p><strong>Jean-Bernard Pouy</strong> en a même fait une enquête littéraire dans un roman intitulé <ins>1280 âmes</ins> pour dire ! :)</p>
<blockquote><p><ins>4ème de couv :</ins> Si Pierre de Gondol est le plus petit libraire de Paris, sa connaissance de la littérature tous azimut est considérable.<br />
C’est ainsi qu’un matin, l’un de ses clients, dérouté par la lecture d’un célèbre roman de Jim Thompson, vient lui demander où sont passés les cinq personnes oubliées dans la traduction de ce texte qui, en anglais, se nomme Pop 1280 et, en français, 1275 âmes. Pierre va alors se transformer en détective littéraire, pour retrouver dans d’autres livres, mais aussi en effectuant le voyage jusqu’aux Etats-Unis, la trace de ces étranges disparus.<br />
Une enquête littéraire haute en couleurs, qui revisite les grands textes tout en posant sur l’Amérique un regard débarrassé de bien des clichés.</p></blockquote>Pottsville, 1280 habitants, de Jim Thompson (2016) - Renaudurn:md5:9c2a033dae9d1ee03e7f9b4157319daa2023-11-06T16:41:56+01:002023-11-06T16:41:56+01:00Renaud<p>Ah ben ça, je ne connaissais pas l'existence de ce bouquin ! J'aime beaucoup le film de Tavernier (il est dans mon top 3 de lui je pense), donc hop, je note soigneusement. Et cette différence de 5 habitants... À ranger au rayons des meilleures inepties de traduction hahaha.</p>Angel Heart, de William Hjortsberg (1978) - Renaud M.urn:md5:1eda84e9df76cfa7ee3381a903285a332013-05-04T18:34:05+02:002014-03-18T13:12:04+01:00Renaud M.<p>Dans la catégorie "films à twist final", pour ceux qui veulent aller peut-être un peu plus loin que <ins>Sixième Sens</ins> et autres <ins>Les Autres</ins> (haha), j'ajouterais <ins>L'Échelle de Jacob</ins>, vu récemment. Pas franchement un chef-d'œuvre, quelques écueils dans le scénario, mais relativement efficace et plutôt original.</p>Angel Heart, de William Hjortsberg (1978) - Gillesurn:md5:1e5177e0bf658f18a2b59bf3475734a22013-01-07T10:16:38+01:002013-01-07T10:17:18+01:00Gilles<p>ah ah merci. <em>J'ai calé</em> le verbe comme il se doit.</p>
<p>Réponse au SPOILER de <strong>Renaud</strong> ;-)<br />
Dans le livre, celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom-trop-vite est moins appuyé (moins la caricature de lui-même).</p>Angel Heart, de William Hjortsberg (1978) - Renaud M.urn:md5:b4f49f0f1d30fef6b0dfe10ea88584152013-01-05T15:05:14+01:002014-03-18T13:12:45+01:00Renaud M.<p>Je l'avoue, je me suis laissé emporter par ce film à l'atmosphère très singulière, bien que comme <strong>Jim</strong>, je n'ai pas lu le bouquin dont il est tiré.</p>
<p>SPOILER<br />Mon seul bémol concerne le personnage de <strong>De Niro</strong> que j'ai trouvé un peu trop "appuyé" (l'était-il dans le roman ?), il donne à mon goût trop de clés sur la suite : la séquence sur les œufs, son allure et surtout son nom (en anglais, ça devient presque évident) m'ont presque gâché la surprise.<br />FIN DU SPOILER</p>
<p>Mais j'ai adoré le reste, et <strong>Mickey Rourke</strong> en particulier, dans sa grande époque : il "sortait" quand même de 2 films de <strong>Michael Cimino</strong> (<ins>La Porte du Paradis</ins> et <ins>L'Année du Dragon</ins>), et le terrible <ins>Rusty James</ins> de <strong>Coppola</strong> n'était pas très loin...<br />
Je ne connaissais pas spécialement ce réalisateur, seulement son <ins>Midnight Express</ins> sorti 10 ans plus tôt. Conclusion : merci beaucoup <strong>Gilles</strong> !</p>
<p>PS: j'ai appris un mot récemment : "écaler". Je te laisse chercher la signification (si tu ne la connais pas déjà) et le lien avec le film :-) (merci <strong>Mimie</strong>)...</p>Angel Heart, de William Hjortsberg (1978) - Gillesurn:md5:01aebaabf2657935231329924f514aea2013-01-05T02:45:25+01:002013-01-05T02:45:56+01:00Gilles<p>Grillé. Voilà qui est fait ! La chronique apparaît maintenant et dans l'onglet <a href="https://www.je-mattarde.com/index.php?lesChroniques#tab1" rel="ugc nofollow">"littérature"</a> et dans l'onglet <a href="https://www.je-mattarde.com/index.php?lesChroniques#tab2" rel="ugc nofollow">"cinéma"</a> de ces abécédaires où nous rangeons nos chroniques.</p>
<p>Merci pour ton soutien <strong>Jim</strong>, on s'amuse bien tu penses en coulisses. On s'étonne nous même du résultat, et on est très gourmand des découvertes des uns et des autres. On serait bien en mal de dégager une "ligne éditoriale", ça nous plaît comme ça, on espère que nos visiteurs s'y retrouvent.</p>
<blockquote><p>L'essentiel passe dans les sensations</p>
</blockquote>
<p>oui, c'est très juste, je ne peux pas dire ça pour beaucoup d'autres films rangés au rayon fantastique, très peu sont autant imprégnés de cette substance, de ce réalisme... Vraiment il y a de quoi s'enthousiasmer autour de l'intrigue et de l'atmosphère de <ins>Angel Heart</ins>.</p>