
Il a fallu un bandeau de l’édition Rivages pour attirer mon dévolu sur un livre de Pierre Siniac pourtant si connu et si fécond. Feu Pierre Siniac reçoit en 1981 le grand prix de littérature policière pour trois ouvrages : L’Unijambiste de la cote 284, Reflets changeants sur mare de sang (deux recueils de nouvelles) et Aime le Maudit. C’est la même année que paraît chez Fayard Femmes Blafardes au milieu d’une longue bibliographie s’étendant de 1958 à 2002.
Derniers commentaires
Bonjour Renaud, Avant d'en venir aux remarques sur cette chouette chronique,…
30/03/2023, 17:08
Ah ben ce sera alors une lecture doublement chaudement recommandée ! À la…
27/03/2023, 15:55
Voilà une lecture que je vais me forcer à lire. L’entreprise dans laquelle je…
22/03/2023, 22:24
(petite pause appendiculaire) Haha j'ai tendance à ne pas publier ici mes…
18/03/2023, 16:13
tonnerre de Brest ! celui-ci je l'ai vu ! ça mérite d'être dit car c'est rare !…
14/03/2023, 23:01