Mot-clé - Yasujirō Ozu

Fil des billets - Fil des commentaires

samedi 24 juillet 2021

Herbes flottantes, de Yasujirō Ozu (1959)

herbes_flottantes_A.jpg, juil. 2021

Les amants crucifiés Il se produit quelque chose entre Ozu et la pellicule couleur que je n'ai, je crois, jamais ressenti ailleurs. La superbe restauration de Herbes flottantes, remake 25 ans plus tard du presque homonyme Histoire d'herbes flottantes, ne fait que renforcer ce sentiment, comme si  […]

Lire la suite

jeudi 08 juillet 2021

Des enfants dans le vent, de Hiroshi Shimizu (1937)

enfants_dans_le_vent.jpg, juin 2021

L'enfance Grande lacune pour ma part en ce qui concerne la filmographie dense de Hiroshi Shimizu s'étirant du début des années 1920 à la toute fin des années 1950, et dont ce Des enfants dans le vent rivalise aisément avec les films d'Ozu sur le même sujet : l'enfance. Il est bien tentant de  […]

Lire la suite

dimanche 28 mars 2021

Flowers of Taipei: Taiwan New Cinema, de Chinlin Hsieh (2014)

flowers of Taipei_poster_OL, mar. 2021

Taiwan (New Cinema) Story Le cinéma taïwanais m'a toujours passionné au moins du point de vue de ses résonances historiques, notamment dans les années 80 avec l'émergence du Taiwan New Cinema. Quelques années qui ont vu émerger deux de ses plus grands représentants, Hou Hsiao-Hsien et Edward Yang,  […]

Lire la suite

mardi 27 octobre 2020

Fleurs d'équinoxe, de Yasujirō Ozu (1958)

fleurs_d_equinoxe.jpg, oct. 2020

Équilibre du jour et de la nuit Le cinéma d'Ozu comporte quelques composantes qui traversent l'ensemble de son œuvre, dans son intégralité (ou presque), pouvant conduire à deux réactions opposées dans un parcours cinéphile donné, à l'heure de la dernière pierre ajoutée à l'édifice. Ainsi, à l'issue  […]

Lire la suite

jeudi 26 juillet 2018

Bonjour, de Yasujirō Ozu (1959)

bonjour.jpg

Essai sur les formules de politesse et les concours de pets On croit connaître l'œuvre d'un cinéaste... jusqu'au film qui change plus ou moins radicalement la donne. J'aime beaucoup ce genre de leçon indirecte de modestie, qui invite à la mesure, à la précaution, au jugement pondéré. Je ne me base  […]

Lire la suite

samedi 25 février 2017

Je ne regrette rien de ma jeunesse, de Akira Kurosawa (1946)

je_ne_regrette_rien_de_ma_jeunesse_A.jpg

Le goût du passé Kurosawa s'aventurant (rétrospectivement, vu d'aujourd'hui) sur les terres habituellement balisées par Ozu, avec quelques brefs détours du côté de Shindō (toujours aussi anti-chronologiquement), c'est quelque chose de particulièrement surprenant pour quelqu'un comme moi qui ne  […]

Lire la suite