Musique

Tentative de recensement des singularités en matière d'écoutes plus ou moins obscures, souvent tournées vers le Garage, le Psych et le Rhythm & Blues.

Fil des billets - Fil des commentaires

dimanche 13 décembre 2020

Alles ist gut, de Deutsch Amerikanische Freundschaft (1981)

Alles Ist Gut.jpg, déc. 2020

Coup de cœur total et improbable pour un groupe de Neue Deutsche Welle / EBM / Synth Punk à tendance minimaliste et électro. Un album un peu plus conventionnel que les précédents Die Kleinen und die Bösen et surtout Ein Produkt der Deutsch-Amerikanischen Freundschaft, si on peut dire, dans sa  […]

Lire la suite

jeudi 03 décembre 2020

Violons Barbares, de Violons Barbares (2010)

violons_barbares.jpg, déc. 2020

Bon, je sais bien, sur le papier, ça fait un peu peur. Un violoniste (quelque-chose de proche en tous cas) mongol, un violoniste (même remarque pour un autre instrument) bulgare et un percussionniste français : un trio aussi bigarré que leur musique bâtie autour du chant khöömii, un chant de gorge  […]

Lire la suite

samedi 31 octobre 2020

Alabama Blues, de J.B. Lenoir (1965)

jb_lenoir.jpg, oct. 2020

Blues acoustique qui n'a pas à rougir de la comparaison avec les figures tutélaires du Delta & Chicago Blues, Howlin' Wolf, Buddy Guy, Elmore James, même si on est plus dans la lignée de Robert Johnson, Skip James voire certaines parties de Muddy Waters. J.B. Lenoir est un bluesman largement  […]

Lire la suite

jeudi 29 octobre 2020

To Bring You My Love, de PJ Harvey (1995)

to bring you my love.jpg, oct. 2020

To Bring You My Love est un album qui arrive dans une certaine continuité logique après Dry (1992, enregistré par Polly Jean Harvey alors âgée de 21 ans seulement) et Rid of Me (1993), avec une empreinte Rock un peu moins brute et crade qu'aux débuts mais avec la même volonté grunge. Par la suite,  […]

Lire la suite

vendredi 09 octobre 2020

Shin Joong Hyun & Yup Juns, de Shin Joong Hyun (1974)

shin_live.jpg, oct. 2020

Shin Joong Hyun est un sacré énergumène, comme en témoignent les bribes de sa biographie accessibles (il subit beaucoup de menaces suite à son refus de composer des hymnes nationaux à la gloire du dictateur d'alors, soutenu par les États-Unis) : il a longtemps été surveillé pour ses activités  […]

Lire la suite

lundi 31 août 2020

African Voodoo, de Manu Dibango (1972)

african_voodoo.jpg, août 2020

Je découvre un genre, le Makossa, sans savoir si cet album en est représentatif : c'est une musique d'influence camerounaise à la frontière entre Jazz et Funk, groovy à souhait. Les racines africaines ne sont pas évidentes et omniprésentes sur la totalité des morceaux, mais cette demi-heure  […]

Lire la suite

dimanche 30 août 2020

Head Hunters, de Herbie Hancock (1973)

hancock_live.jpg, août 2020

Moi qui croyais connaître Herbie Hancock avec ses albums de Jazz très classique des années 60... Sur le cul. Ce mélange de Jazz et de Funk est d'un groove interplanétaire, et même si une fois passée l'orgie de Chameleon le niveau redescend constamment jusqu'à la fin de l'album, ces 15 minutes de  […]

Lire la suite

mercredi 15 juillet 2020

Trav'lin Man: The Early Singles, de Fred Neil (2008)

early_singles.jpg, juil. 2020

Trav'lin Man: The Early Singles est une compilation de titres Rockabilly de Fred Neil sortis entre 1957 et 1961. Souvent à l'époque dans ce registren on peut diviser le corpus en deux, avec une moitié très Rockabilly et une autre beaucoup plus tournée vers les ballades presque Folk — Folk qui sera  […]

Lire la suite

mardi 30 juin 2020

Fever, de Little Willie John (1956)

fever.jpg, juin 2020

  Little Willie John a 17 ans quand il chante Fever en 1956, première version du classique de Rhythm & Blues qui deviendra célèbre après la reprise (avec modification des paroles) de Peggy Lee de 1958. Ne serait-ce que pour cela, respect éternel. Il mourra à 30 en prison après avoir été arrêté  […]

Lire la suite

dimanche 28 juin 2020

Marjory Razorblade, de Kevin Coyne (1973)

Marjory Razorblade.jpg, juin 2020

Folk anglaise nasillarde. Avec son entame très déroutante, a cappella, exposant crûment la voix si particulière de Kevin Coyne sur le texte qui fait un portrait très étrange, je n'aurais pas donné cher de la peau d'un album de 1h20 en 22 morceaux... Et pourtant. Une ballade au pays de l'étrange,  […]

Lire la suite

- page 5 de 15 -

Haut de page