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  • 559 De Renaud - 22/06/2023, 16:20

    Source : De humani corporis fabrica, de Lucien Castaing-Taylor et Véréna Paravel (2023)

    Ce film est pour moi vraiment démentiel, et si la nature des images ne te pose pas de problème particulier, n'hésite pas une seconde ! Et je ne pense pas me tromper en disant qu'il n'y a pas beaucoup ou pas du tout de cet "humour de salle d'opération", tu peux t'y lancer tranquille. On entend des bruits et des discussions pendant les opérations, mais cela fait vraiment sens, et on peut choisir de ne pas les entendre en plus car le son est très faible dans ces passages-là.
    L'impact du contenu est je pense immense, quelle que soit la taille de l'écran... Les réalisateurs ont réussi à dégager une homogénéité esthétique tout du long qui est fascinante, ça n'arrête pas pendant 2 heures, en dedans et en dehors. Et en termes de chirurgies, tu l'auras compris : il y en a pour tous les goûts ! ;-)
    Mon plus grand coup de cœur des 20 derniers mois. Si tu tentes un visionnage, je serai très intéressé par un retour de ta part.

  • 558 De Jim - 22/06/2023, 15:18

    Source : De humani corporis fabrica, de Lucien Castaing-Taylor et Véréna Paravel (2023)

    Si les séquences en dehors des blocs opératoires sont d'un intérêt plus négligeable, le pouvoir des images de l'intérieur des corps est immense, sidérant même — entre dégoût et fascination, difficile de se positionner tant certaines confinent à une abstraction organique triturée par la mécanique du matériel médical.

    Pour l'extraordinaire des images, je rattraperai ce film à un moment donné, sur petit écran.

    Le voir sur grand écran aurait certainement amplifier l'impact mais tant pis, j'y ai renoncé, car je craignais que le documentaire comporte trop d'humour de salle d'opération.
    Je comprends l'existence de cette sorte d'humour, utile à se libérer d'une pression importante, mais comme témoin extérieur, je la supporte assez mal...

    (Sans présumer outre mesure des réactions de mon estomac, je pense que je serai plus fasciné que dégouté. Les visions présentées s'annoncent inédites mais j'espère que le souvenirs de ces moments de week-end en famille à regarder les images d'opérations à cœur et corps ouverts diffusés par "Le magazine de la santé", à l'heure du café, m'y auront préparé a minima !)
    (ou alors je m'y préparerai en me plongeant dans les encyclopédies médicales illustrées de mon infirmière de mère, à l'entrée "Maladies nécrosantes des organes génitaux" ! ;-)

  • 554 De Renaud - 16/06/2023, 15:25

    Source : Les Amants, de Louis Malle (1958)

    Hahaha, en route pour le 2222ème alors, rendez-vous dans 10 ans. :D
    Eh non ce n'est pas un canal de sudiste (ça aurait pu être dans le Lauragais ou le Minervois c'est clair), c'est en effet quelque part entre Dijon et Paris !

  • 553 De Gilles - 16/06/2023, 12:00

    Source : Les Amants, de Louis Malle (1958)

    Je me suis dit que tu avais choisi un plan sur les berges du Canal du Midi. Sauf que c'est en Bourgogne :)

  • 552 De Gilles - 16/06/2023, 11:50

    Source : Les Amants, de Louis Malle (1958)

    Le pur hasard ! Je prenais hendécaféiné devant le site quand tout à coup cette révélation m'est soudainement apparue.

    A la fréquence des anniversaires qu'on célèbre ici, le prochain sera pour l’occasion du 2222ème billet avec une foule de fans en délire ! :)

  • 551 De Renaud - 15/06/2023, 20:35

    Source : Les Amants, de Louis Malle (1958)

    Oh, c'est un joli anniversaire haha. Je ne sais pas comment tu as fait pour voir ça au bon moment ! Longue vie à Je m'attarde ! (la nouvelle devise)

  • 549 De Gilles - 15/06/2023, 11:40

    Source : Les Amants, de Louis Malle (1958)

    Les amants et ses poils sous les bras sonnent le 1111ème billet publié sur le site (dont 1023 publiés par toi, Renaud ;-) Alors

    Joyeuse mille cent onzième publication

    et longue vie à Je m'attarde !

    avec prochainement un petit nouveau qui se reconnaitra, on a hâte en tout cas de lire sa chronique longuement travaillée sur les Œuvres complètes d'Edgar Allan Poe ;)

  • 548 De Renaud - 07/06/2023, 18:13

    Source : Gog Magog, de Patrícia Melo (2021)

    Oh, j'avais complètement oublié t'avoir parlé de ce bouquin. ;-) Content que tu l'aies apprécié et merci pour ce rafraîchissement de mémoire. La description des "agressions sonores" m'avait vraiment marqué !

  • 547 De Renaud - 02/06/2023, 15:42

    Source : Les Rendez-vous du diable, de Haroun Tazieff (1959)

    Le grain de ces images nous renvoie, en esprit, dans le passé, de façon plus convaincante que si l'on avait pris une machine à remonter le temps pour re-filmer le tout avec une caméra numérique 8K ! ;-)
    Hahahaha tout à fait accord et joliment dit.

    Je ne sais pas si tu as eu l'occasion de voir ou revoir dernièrement le film de Cousteau qui a remporté la palme d'or en 1956. C'est intéressant d'un point de vue historique, mais alors sinon c'est vraiment un carnage, j'avais été partagé entre rires et honte.

  • 546 De Jim - 02/06/2023, 14:24

    Source : Les Rendez-vous du diable, de Haroun Tazieff (1959)

    Belle trouvaille.
    Merci pour cette chronique.

    "(...) spectacle visuel d'autant plus fascinant qu'on a l'impression d'accéder à des images un peu magiques, de par leur rareté (que ce soit le contenu du documentaire ou la pellicule physique elle-même)."

    Le grain de ces images nous renvoie, en esprit, dans le passé, de façon plus convaincante que si l'on avait pris une machine à remonter le temps pour re-filmer le tout avec une caméra numérique 8K ! ;-)

    "(...) Desproges (...) se moquait gentiment du volcanologue et le comparait au Cousteau du dramatique Monde du silence — ce dernier, sorti en 1956, aurait d'ailleurs inspiré Tazieff pour son film."

    Ah, Haroun Tazieff... Je me souviens avoir maintes fois feuilleté les volumes de "25 ans sur les volcans du globe" qu'avait achetés ma mère.
    J'étais trop jeune pour juger du comportement et du traitement médiatique du bonhomme ; j'étais seulement émerveillé par les images et témoignages.
    (Idem pour Cousteau et ses bouquins sur les requins)

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