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  • 166 De Renaud M. - 13/01/2013, 18:47

    Source : The Thing, de John Carpenter (1982)

    Salut Jim,
    et merci pour ce commentaire intéressant.

    The Thing et Alien figurent également au panthéon de mes meilleurs films "horrifico-SF", sans hésitation aucune. Je suis en train de lire un excellent livre sur l'horreur et les monstres en général, écrit par John Landis : une vraie mine d'idées de films de genre, une chronique devrait suivre dans les semaines à venir...

    Je te rejoins complètement sur la qualité de la mise en scène du film, particulièrement soignée et "sans chichis", un point que beaucoup de films (surtout dans ce genre-là, et y compris pour certains autres films de Carpenter) omettent régulièrement...
    Et j'avoue qu'avec le recul, je me trouve un peu sévère, surtout dans la comparaison entre Prince des ténèbres et L'Antre de la folie, ce dernier étant nettement supérieur au premier. À côté de ça, j'ai oublié de mentionner quelques autres pépites de sa filmographie, comme le rudimentaire et premier Dark Star, ou encore le très sobre Assault on Precinct 13. Mais ce n'est que partie remise...

    Pour le reste, je prends bonne note de ce Michael Powell, et je te remercie infiniment pour ce The Things que j'ai dévoré à deux reprises, en le lisant et en l'écoutant au travers de la voie suave de Kathryn Baker. Je rajoute ton lien illico presto en fin de billet !

  • 165 De Jim - 12/01/2013, 18:00

    Source : Une saison de machettes, de Jean Hatzfeld (2003)

    Un livre exceptionnel. Un livre qui importe.

  • 164 De Jim - 12/01/2013, 17:58

    Source : The Thing, de John Carpenter (1982)

    Chouette chronique,
    qui éclaire bien sur le contexte du film.

    Un des deux grands films horrifico-SF qui marquèrent mon adolescence (le second étant naturellement Alien, également cité ici).

    Outre les qualités que tu mentionnes (atmosphère, suspense, musique, SFX…), j’ y ai aussi beaucoup apprécié la mise en scène ample et sans chichis de John Carpenter, laquelle fonctionne, je trouve, très bien dans ce cadre de huis-clos.

    À propos de Carpenter...

    Je rejoins largement tes propos sur son œuvre,
    si ce n’est que je considère que L’antre de la folie est bien mieux que très moyen (sans y voir non plus un chef-d’œuvre) et que si le réalisateur participe à la formalisation des codes du slasher, il n’en est pas pour autant l’inventeur (je ne suis pas spécialiste en la matière mais il me vient notamment à l’esprit Michael Powell et son Voyeur…)

    PS : As-tu lu The things, la nouvelle de Pater Watts, qui débute à la fin du film de Carpenter et est raconté du point de vue de la créature ?
    (Elle est disponible, en vo, à cette adresse : http://clarkesworldmagazine.com/watts_01_10/)

  • 163 De Gilles - 07/01/2013, 10:16

    Source : Angel Heart, de William Hjortsberg (1978)

    ah ah merci. J'ai calé le verbe comme il se doit.

    Réponse au SPOILER de Renaud ;-)
    Dans le livre, celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom-trop-vite est moins appuyé (moins la caricature de lui-même).

  • 162 De Renaud M. - 05/01/2013, 15:05

    Source : Angel Heart, de William Hjortsberg (1978)

    Je l'avoue, je me suis laissé emporter par ce film à l'atmosphère très singulière, bien que comme Jim, je n'ai pas lu le bouquin dont il est tiré.

    SPOILER
    Mon seul bémol concerne le personnage de De Niro que j'ai trouvé un peu trop "appuyé" (l'était-il dans le roman ?), il donne à mon goût trop de clés sur la suite : la séquence sur les œufs, son allure et surtout son nom (en anglais, ça devient presque évident) m'ont presque gâché la surprise.
    FIN DU SPOILER

    Mais j'ai adoré le reste, et Mickey Rourke en particulier, dans sa grande époque : il "sortait" quand même de 2 films de Michael Cimino (La Porte du Paradis et L'Année du Dragon), et le terrible Rusty James de Coppola n'était pas très loin...
    Je ne connaissais pas spécialement ce réalisateur, seulement son Midnight Express sorti 10 ans plus tôt. Conclusion : merci beaucoup Gilles !

    PS: j'ai appris un mot récemment : "écaler". Je te laisse chercher la signification (si tu ne la connais pas déjà) et le lien avec le film :-) (merci Mimie)...

  • 161 De Gilles - 05/01/2013, 02:45

    Source : Angel Heart, de William Hjortsberg (1978)

    Grillé. Voilà qui est fait ! La chronique apparaît maintenant et dans l'onglet "littérature" et dans l'onglet "cinéma" de ces abécédaires où nous rangeons nos chroniques.

    Merci pour ton soutien Jim, on s'amuse bien tu penses en coulisses. On s'étonne nous même du résultat, et on est très gourmand des découvertes des uns et des autres. On serait bien en mal de dégager une "ligne éditoriale", ça nous plaît comme ça, on espère que nos visiteurs s'y retrouvent.

    L'essentiel passe dans les sensations

    oui, c'est très juste, je ne peux pas dire ça pour beaucoup d'autres films rangés au rayon fantastique, très peu sont autant imprégnés de cette substance, de ce réalisme... Vraiment il y a de quoi s'enthousiasmer autour de l'intrigue et de l'atmosphère de Angel Heart.

  • 160 De Jim - 04/01/2013, 18:29

    Source : Angel Heart, de William Hjortsberg (1978)

    N'ayant pas lu le roman, je ne commenterai que le film :
    tout à fait efficace ; un peu relâché sur l'intrigue, certes, mais ce n'est pas bien grave tant l'essentiel passe dans les sensations,
    par l'image, le son et les incarnations.

    (j'ai mis du temps à voir ce film car je m'étais laissé dire que De Niro y cabotinait de trop ; ce n'était pas le cas : je le trouvai tel que tu l'as décrit.)

    PS : je n'ai pas trouvé cette chronique via les abécédaires : est-ce normal (c'est trop tôt) ?

    PPS : les blogs collectifs, c'est bien. Continuez. ^^

  • 159 De Aethelwyn - 15/12/2012, 19:11

    Source : Les Nouveaux Chiens de Garde, par Gilles Balbastre et Yannick Kergoat (2012)

    Allez sur "j'ai un doute" [jaiundoute.com, NdR], le documentaire est enfin en libre visionnage !
    Voilà, je venais vous prévenir, je me souvenais avoir vu un article sur ce docu ici ^^

  • 158 De Gilles - 07/12/2012, 17:06

    Source : Ciné SF d'en France

    ...il y a pas mal de personnalités étrangères impliquées dans ces films.

    Sans parler des réalisateurs français comme François Truffaut qui réalise une adaptation du célèbre roman Fahrenheit 451 de Ray Bradbury (mort cette année) en production britannique, ou encore comme Michel Gondry qui réalise le génial Eternal sunshine of the spotless mind en production américaine.




    ...une référence en matière d'anticipation des dérives de l'empire médiatico-télévisuel ...

    Pour continuer autour de ce sujet, côté bouquin cette fois-ci, on trouve l'excellent Jack Barron et l'éternité de Norman Spinrad (1969) réédité régulièrement :

    http://www.noosfere.com/modules/img.php?image=../images/couv/l/laffont-adspinrad-1971.jpg&scale=45

    Ma couverture préférée étant celle avec l'illustration de Tibor Csernus :

  • 157 De Renaud M. - 07/12/2012, 09:32

    Source : Ciné SF d'en France

    Merci Gilles pour ce billet made in France.
    Bon on remarquera quand même qu'il y a pas mal de personnalités étrangères impliquées dans ces films, comme Jane Fonda dans Barbarella (dont j'ai adoré cette « esthétique kitsch », à défaut de m'être passionné pour le reste) et Harvey Keitel dans La Mort en Direct, ce dernier étant devenu pour moi une référence en matière d'anticipation des dérives de l'empire médiatico-télévisuel. Je le range aux côtés de Videodrome de Cronenberg (1983, soit 3 ans après le film de Tavernier) et de The Truman Show de Peter Weir (1998). Avec une nette préférence pour Videodrome tout de même...

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