
L'association de la kora du Sénégalais Ablaye Cissoko et de la trompette de l'Allemand Volker Goetze produit une ambiance incroyablement suave. Une douceur qui n'a jamais été aussi prononcée dans les premiers albums de Cissoko, beaucoup plus traditionnels en termes de musique mandingue, comme des recueils de contes de griots. Deux univers très différents qui s'associent pourtant très agréablement, un peu à l'image d'Ali Farka Touré et Ry Cooder pour Talking Timbuktu. Le timbre caractéristique de la trompette avec sourdine, associée à cette ambiance envoûtante, rappellerait presque la composition de Miles Davis pour le film Ascenseur Pour L'échafaud (pour info, c'était ça : lien youtube).
Extrait de l'album, Lountang.
Un autre morceau, plus court, instrumental : Domain Domain.

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