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  • 56 De Renaud M. - 29/01/2012, 19:36

    Source : Les Nouveaux Chiens de Garde, par Gilles Balbastre et Yannick Kergoat (2012)

    My pleasure ! ;-)

  • 55 De Faust - 25/01/2012, 11:07

    Source : Les Nouveaux Chiens de Garde, par Gilles Balbastre et Yannick Kergoat (2012)

    Merci pour ce billet qui m'aura donné envie d'aller voir cet excellent (effroyable?) documentaire.

  • 54 De Renaud M. - 11/01/2012, 11:36

    Source : L'Usage du Monde, de Nicolas Bouvier (1963)

    Beau voyage ! Je ne connaissais pas Nicolas Bouvier.
    Deux noms me viennent à l'esprit, spontanément : celui d'Antoine de Maximy, globe-trotter dans les reportages filmés de J'irai dormir chez vous, dans lesquels il part seul à la découverte d'endroits et de personnes, avec au menu des expériences très singulières ; et celui de Bernard Ollivier, ancien journaliste reconverti en voyageur qui rallia autour de 2005, seul et à pied, Istanbul à Xi'an, en Chine. Un périple de 12 000 kilomètres et un récit de voyage, Longue Marche, en trois volumes, qui n'attendent que moi...

  • 53 De Gilles - 07/01/2012, 18:29

    Source : Quartier lointain, par Jirô Taniguchi (1998)

    Deal..! :-)

  • 52 De Clément - 05/01/2012, 09:09

    Source : Mon dico illustré, par Siné (2011)

    Putain que Siné ça fait du bien !

  • 51 De Renaud M. - 04/01/2012, 16:11

    Source : Du paradigme de l'éducation : « Ken Robinson says schools kill creativity »

    Salut Clément.

    Je suis d'accord avec toi, cette vidéo abonde en points de vue et analyses intéressants (pour la plupart d'entre eux), et la synthèse n'est pas des plus évidentes. Le côté « mind mapping » (carte heuristique en Français) est un plus, une approche plutôt originale.
    En ce qui concerne les solutions : à mon avis, il est difficile, moralement et idéologiquement, de mettre sur un pied d'égalité les conférences TED, aussi pertinentes qu'elles soient, avec le pragmatisme anarchiste de Paideia. TED se veut iconoclaste : il l'est, au moins dans une certaine mesure, pour le meilleur comme pour le pire, mais dans un registre donné. Je ne pense pas qu'on puisse vraiment parler de solutions effectives, pas plus dans cette vidéo que dans les autres en lien (ça n'est d'ailleurs pas vraiment le but premier ce ces conférences je pense). Ça reste assez théorique au final, loin des solutions que propose Paideia aujourd'hui, et ce depuis plus de trente ans. Mais je comprends le rapprochement. Ils doivent simplement différer sur les objectifs et le modus operandi...

    Quant au constructivisme, je ne connaissais pas ce « GFEN », je corrige cela très vite !

  • 50 De Clément - 03/01/2012, 22:17

    Source : Du paradigme de l'éducation : « Ken Robinson says schools kill creativity »

    Salut Renaud,

    Cette vidéo est très intéressante ( quoique vraiment très dense ) de par les constats avisés qu'elle dresse sur le problème de l'éducation, et de par sa forme qui pourrait représenter une mise en abîme des idées : la forme de transmission du message est plurielle. On peut juste regarder, juste écouter, juste lire, les 2, les 3 ...

    Je suppose que je trouverai dans les autres vidéos ou sur les liens donnés des informations sur les solutions concrètes proposées. Tu confirmes ?

    Ce n'est pas sans rappeler l'école anarchiste "Paideia" à Merida, en Espagne (lire le paragraphe à ce sujet dans le billet : http://www.je-mattarde.com/index.ph... ). Ils partagent en effet l'envie de rompre avec le conformisme de l'éducation, qui pour moi est la base du problème.

    Enfin, pour compléter encore, j'avais rencontré une enseignante qui faisait partir d'un groupe d'étude sur " l'éducation nouvelle ". Je connais qu'à moitié, mais d'après ce que j'ai retenu de ma discussion, ils veulent baser leur éducation sur la théorie du Constructivisme, qui dit que chaque enfant doit se construire soi-même son bagage. On peut voir l'association qui s'appelle Groupe Français d'Education Nouvelle (GFEN : http://www.gfen.asso.fr/). Donc si Christine, d'Arnaud-Bernard, lit ses lignes, ses lumières sont bienvenues !

    A+

  • 49 De Clément - 03/01/2012, 21:53

    Source : Quartier lointain, par Jirô Taniguchi (1998)

    Salut !

    Joli billet, qui donne envie de lire ce diptyque au plus vite ! J'aime beaucoup Proust, et faire ce lien entre les deux auteurs m'intrigue beaucoup. Ca me fait penser à cette belle phrase de Proust, dans " Un amour de Swann ", quand Swann se rappelle Odette en entendant un morceau de musique qu'ils écoutaient ensemble : " Mais tout à coup ce fut comme si elle était entrée, et cette apparition lui fut une si déchirante souffrance qu’il dut porter la main à son cœur. ". Cela montre bien les mécanismes de la mémoire, et l'idée de pouvoir revivre des instants passés et se confronter, plus que tout, à la complexité de la vie est excitante, et troublante.

    On aura l'occasion d'en reparler quand j'aurai fini de lire " Le vagabond des étoiles " de Jack London, et que je publierai un article à ce sujet. Ce roman méconnu relate les expériences de l'esprit, de l'imaginaire, d'un prisonnier supplicié à l'épreuve de la camisole, Darrell Standing, qui par le biais d'une mort corporelle revit ses vies passées, par morceaux. S'il n'agit pas proprement sur l'instant, la réminiscence des sensations, des souvenirs au réveil, et l'interprétation qu'il fait au présent de ses existences passées joue quand même un rôle similaire.

    Enfin, pour finir sur Taniguchi, je ne peux que te conseiller de te plonger dans le manga en 5 tomes " Au temps de Botchan ", fresque littéraire et historique de l'ère Meiji, à travers les intellectuels politiques et littéraires de l'époque, et leurs relations difficiles entre eux et avec l'Occident.

    Tu lis " Botchan " et je lis " Quartiers Lointains ", deal ?

    Ciao !

  • 47 De Renaud M. - 20/12/2011, 18:09

    Source : Sleeping Beauty, de Julia Leigh (2011)

    Docteur Faust, bonjour.

    Petit précis préliminaire : tu l'auras compris, l'objet de ce billet n'était pas vraiment une critique du film dans son ensemble, mais plutôt une réflexion axée sur les apparences, les ressemblances et les faux-semblants qu'il questionne et (mais ?) qu'il véhicule. Cela n'affecte en rien la pertinence de ton commentaire, mais me permet de légitimer la brièveté de certains passages qui auraient mérité un plus ample développement, je le concède.

    Ceci étant dit, les rapports que Lucy entretient, d'une part, avec Birdmann (en référence à Radio Birdman ?), cet étrange « amant » alcoolique qu'elle semble affectionner et, d'autre part, avec les vieux aristos à qui elle loue son corps, sont clairement à mettre en correspondance. Il existe une impuissance commune à tous ces personnages qui désirent Lucy, son corps blême ou sa présence rassurante ; elle est visible plus ou moins explicitement, et s'exprime en effet de manières radicalement opposées (cf. l'image forte du vieil homme qui souhaite s'endormir à ses côtés, pour toujours), je suis d'accord. J'avais oublié ce passage dans le train hautement symbolique, c'est vrai, avec ce livre en miroir déformant de la réalité, image(s) d'une beauté perdue à jamais. D'où le « Sleeping Beauty ».

    Je ne reviens pas sur l'aspect critique de notre société, ce « désir d'un beau éternel qui nous renvoie à notre propre laideur », cela me paraît assez clair. Par contre, concernant la psychologie de la belle Lucy, je ne suis pas forcément d'accord avec ce que tu avances au sujet de la relation implicite qui lierait beauté et bêtise (OK pour l'élément rhétorique, la beauté vécue aujourd'hui comme un fardeau). Je pense que ce questionnement, « beauté écervelée » ou « beauté désabusée », est plutôt à mettre en lien avec cette notion d'asservissement, volontaire mais désespéré. Lucy n'est pas écervelée (peut-être un brin désabusée) ; elle est surtout prisonnière d'une réalité dont on ne peut se détourner, et lance régulièrement ces « will you marry me ? » comme autant d'appels à l'aide (le point d'orgue étant l'ultime sursaut à la fin du film), éventuellement teintés d'un manque de reconnaissance, dans cette société où elle a su trouver une place, quel qu'en fût le prix (ici, la soumission).

    Merci pour ces éléments de réponse, cher Faust. Je t'attends, impatiemment, au détour d'un billet sur Shame...

  • 46 De Gilles - 19/12/2011, 20:29

    Source : Dans les ruelles de l'Alfama, Lisbonne

    Superbe !

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