Mot-clé - Kaneto Shindō

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lundi 28 octobre 2024

Epitome (縮図, Shukuzu / Miniature), de Kaneto Shindō (1953)

epitome.jpg

Ingratitudes du métier Ce film précoce dans la carrière de Kaneto Shindō ajoute une pierre à l'édifice du cinéma japonais narrant la vie des geishas et des maisons de geisha, un registre déjà bien fourni en 1953 grâce aux contributions de Kenji Mizoguchi, par exemple, entre Les Sœurs de Gion ou le  […]

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mercredi 26 juin 2024

Works Of Hikaru Hayashi (林 光の世界), de Hikaru Hayashi (1978)

works_of_hikaru_hayashi.jpg, juin 2024

Où je découvre que Hikaru Hayashi a travaillé pour Kaneto Shindō (Onibaba, Kuroneko, L'Île nue), c'est relativement connu, mais aussi pour Nagisa Ōshima, Yasuzō Masumura et Yoshishige Yoshida. Beaucoup de musiques sont à base de cuivres ou de piano, et sonnent à ce titre comme une musique  […]

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vendredi 24 mai 2024

Tuer (斬る, Kiru), de Kenji Misumi (1962)

tuer.jpg, mai 2024

La concision du geste Ce n'est certainement pas le premier chanbara que je vois, et sans pour autant avoir une culture particulièrement aiguisée sur le sujet, Kiru aka "Tuer !" est de très loin le film le plus vif, le plus tranchant, et le plus concis que j'aie vu dans ce registre. Cette  […]

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vendredi 04 mars 2022

Un clou dans la botte, de Mikhaïl Kalatozov (1931)

clou_dans_la_botte.jpg, fév. 2022

Agitprop de ferrailleur Plus je parcours leurs filmographies respectives et plus je trouve que l'expression formaliste radicale de Mikhaïl Kalatozov et celle de Kaneto Shindō entrent en résonance, comme un parallèle entre la Russie soviétique et le Japon avec comme dénominateur commun temporel les  […]

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dimanche 20 février 2022

Woodlands Dark and Days Bewitched: A History of Folk Horror, de Kier-La Janisse (2021)

woodlands_dark_and_days_bewitched.jpg, févr. 2022

Miscellanée folk horrifique Même si le sujet en soi ne m'intéresse pas au plus haut point, et malgré toutes les déconvenues expérimentées dans ce registre horrifique, Woodlands Dark and Days Bewitched: A History of Folk Horror est un documentaire extrêmement bien fourni et bien construit sur le  […]

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jeudi 26 novembre 2020

Story of a Beloved Wife, de Kaneto Shindō (1951)

story_of_a_beloved_wife.jpg, nov. 2020

Shindō scénariste et mise en abyme autobiographique Le Kaneto Shindō des débuts, pour son tout premier film en tant que réalisateur, ne ressemble en rien à celui des années 60 (prolixe en propositions formelles incandescentes du type Onibaba) ni à celui des décennies suivantes. Mais résumer la  […]

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samedi 25 février 2017

Je ne regrette rien de ma jeunesse, de Akira Kurosawa (1946)

je_ne_regrette_rien_de_ma_jeunesse_A.jpg

Le goût du passé Kurosawa s'aventurant (rétrospectivement, vu d'aujourd'hui) sur les terres habituellement balisées par Ozu, avec quelques brefs détours du côté de Shindō (toujours aussi anti-chronologiquement), c'est quelque chose de particulièrement surprenant pour quelqu'un comme moi qui ne  […]

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lundi 05 décembre 2016

L'Île nue, de Kaneto Shindō (1960)

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Le dur labeur d'un Sisyphe insulaire On pourrait croire qu’avec de tels partis pris esthétiques et narratifs, aussi puissants que radicaux, L’Île nue constituerait l’essence même de l’œuvre profondément clivante. En choisissant comme cadre un îlot au sud du Japon, isolé au sein d’une mer  […]

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lundi 10 octobre 2016

Kuroneko (藪の中の黒猫, Yabu no Naka no Kuroneko, The Black Cat), de Kaneto Shindō (1968)

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Éradication du mâle à la source Plus on parcourt la filmographie de Kaneto Shindō, plus on s'aventure dans les recoins poétiques et atmosphériques de ses histoires, et plus le charme vénéneux de ses images fait sens, plus il gagne en puissance. En prenant pour cadre le Japon médiéval au temps des  […]

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dimanche 05 juin 2016

Onibaba, de Kaneto Shindō (1964)

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La femme des roseaux Regarder Onibaba, c'est prendre le risque de s'exposer à un charme vénéneux, indélébile, persistant. Une beauté brûlante qui marque les rétines au fer rouge et qui laisse dans les cœurs l'empreinte des passions tumultueuses. Une ambiance sans pareille pour un film sans  […]

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